NOM : Weasley. Ne faites pas les ignares, on en a souvent entendu parler. Une famille de rouquins assez nombreuse, il est fort probable que vous en ayez croisé un lors de votre scolarité dans une certaine grande école de sorcellerie.  PRÉNOM(S) : Douce contraction des prénoms Élisabeth et Anne. C'est une caresse dans la bouche, suave à l'oreille. Lysianne est donc son seul prénom, pas besoin d'un second pour le compléter. ÂGE : En plein milieu de son quart de siècle, une constatation qui donne envie de faire un bilan de ce qui a été fait et ce qu'il reste à faire. Compléter sa 24 éme année d'existence depuis peu, ce n'est pas être jeune, mais également ne pas être vieille. Douce ironie.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 14 février 1956, le jour des amoureux. SANG : Avec ce nom, vous poussez la question ? Weasley c'est du pur. Bon ce n’est pas la famille la plus appréciée dans le monde des sorciers, mais il n'y a jamais eu de doute là dessus. MÉTIER : Lysianne a toujours été une grande amoureuse des animaux. C’est pour cela qu'elle fait des études dans le but de devenir vétérinaire, mais elle a actuellement le statut d'apprentie vétérinaire ( eh oui même les chouettes peuvent tomber malades !), elle est également vendeuse dans l'établissement « Magical Menagerie » situé dans le chemin de traverse, mais si vous le connaissez bien vous y avez très certainement acheté votre compagnon pour Poudlard. SEXUALITÉ ET STATUT :Inexistante et inexploité. Telle une feuille blanche, Lysianne est seule et ne sait pas ce qu'elle veut. N'ayant jamais fait l'effort de réfléchir là-dessus, à quoi cela pourrait être important vu qu'elle a peur d'être touchée ?  ANCIENNE MAISON : La jeune Weasley n'a pas suivi la voie de ses parents, elle s'est vu être envoyée chez les jaunes et Noires. Poufsouffle. CAMP :Lysianne a toujours pu paraître faible et assez effacée, ceci n'est pas la réalité, elle est plutôt incomprise. Elle a rejoint l'ordre du phénix, elle fait partie de la masse, bien que cela peut paraître peu probable, beaucoup doivent simplement la pensée neutre. Mais elle estime que chacun mérite une chance d'être entendu et non étouffé par ceux qui estiment être au dessus de tous.  BAGUETTE : La baguette de Lysianne mesure 22.4 cm. Faite en bois de mélèze, le bois des sorciers ayant des talents cachés. Une Tige de dictame en son coeur. Flexible.

1 ~ Que penses-tu de la situation du monde magie imaginée par la Ministre de la Magie, Millicent Bagnold ?2 ~ Que penses-tu de toute cette guerre ? Te concerne-t-elle directement ?

1968
- Je ne comprends pas, vous me dites qu’elle n’est pas malade ? Elle fait des malaises, je ne l’invente pas quand même. Elle s’est quand même ouvert le crâne en tombant dans les pommes cette fois-ci ! Et vous vous prétendez médicomage ? Je ne comprends pas vous êtes totalement incompétent où c’est simplement notre nom qui vous dérange ?
- Monsieur, je vous demanderez de garder votre calme. J’ai dit qu’elle n’avait pas de maladie, cela ne veut pas dire qu’elle n’a rien. Ce que vous constatez n’est le résultat d’un stresse. Tous les symptômes montrent qu’elle fait des crises de panique et malheureusement pour elle, ce n’est pas une maladie et ce n’est pas soignable. Elle doit apprendre à vivre avec ça. Il n’y a que Lysianne qui pourra un jour surmonter ses peurs.
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Lysianne n’arrivait plus à respirer. C’était comme si quelques choses de pesants s’appuyaient contre son thorax. Un poids qui faisait chauffer son visage, l’empêchant de bouger. Sa bouche était ouverte et calfeutrée par une masse molle et dense qui l’étouffait. Elle voulait crier, ordonner à son qu’on la lâche, essayant sans air, mais aucun bruit ne sortit de sa bouche.  Son crâne s’emplissait de rouge. Un rouge alarmant, palpitant .Le rouge de son propre sang qui montait à sa tête. Elle aurait voulu se débattre faire en sortie qu’on la lâche, mais elle ne pouvait pas bouger. Les larmes virent faire son apparition sur son visage, des larmes de douleurs, c’est quelques choses d’extrêmement douloureux de sentir son corps réclamer de l’air.  Elle n'arrivait à rien. Elle avait besoin d’oxygène. Elle consacrait la moindre parcelle d’énergie. Faire entrer de l’air dans ses poumons. Sa tête était saturée de rouge, vrillée par l’idée, l’ombre d’un hurlement. Elle se sentait faiblir, s’effacer. Mourir. Puis soudain, le poids disparut et il pouvait respirer à nouveau. De l’oxygène. Le soulagement qui l’envahissait était si immense qu’elle se recula dans l’obscurité pour aspirer l’air en goulées bruyantes, impatientes, chaotiques. Reprenant son souffle, s’éloignant de la personne qui l’avait agrippé par le bras.
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Lysianne ferma les yeux et prit une profonde inspiration. Un souvenir heureux, c’était ce qui était demandé. Un souvenir heureux, cette pensée vint lui arracher un petit rire étouffé. Elle qui aimait lire des romans, elle eux une petite pensée pour l’œuvre de J. M Barrie. Roman qu’elle avait dévoré petite, rêvant que Peter pan viendrait la tirer de son enfance. Elle aurait pu devenir sa Wendy, s’envoler grâce à une pensée heureuse et passer le reste de sa vie à raconter des histoires aux enfants imaginaires. Ils allaient quoi finir par croiser une petite fée et ils allaient pouvoir s’envoler ?  Les yeux fermés, elle prit une profonde inspiration. Elle devait réussir ce fichu sort. C’était pour cela qu’ils étaient réunis. Travailler.
Elle se rappela vaguement, de la seule fois où elle avait ressenti de la joie. Une euphorie parasitée d’aucune autre émotion. C’était une nuit d’été, elle était dans le jardin de la maison familiale. Vêtue d’une simple robe, elle avait commencé à lire l’un de ces nombreux romans d’aventures. Ses parents n’étaient pas présents, très certainement en train de passé la soirée avec l’un de leurs nombreux amis. Comme toujours, la petite sorcière avait pris soin de s’occuper seule d’elle-même, elle n’avait besoin de personne pour survivre. Ses parents la regardaient différemment depuis qu’elle était rentrée à Poudlard, sansa aussi à vrai dire. Lysianne était pied nu, les yeux scrutant le ciel, se remplissant de nombreuse trainé de lumière. C’était comme une peinture qui se crée sous ses yeux. La première fois que la demoiselle était confrontée à une pluie d’étoiles. C’était magnifique. Rien ne pouvait rivaliser à cette vision. La rouquine se leva et tourna lentement sur elle-même. Une légère brise digne de celle des saisons chaudes la fit frissonner. C’était bien plus éblouissant que la magie. C’était le monde et quelques choses de naturel. Mais c’était d’une perfection. Rien ne serait en mesure de rivalisé face à cette exquise vision. Elle avait dû rester deux heures debout, les pieds ne faisant qu’un avec l’étendue verte. Les pensaient de Lysianne se taisaient, elle était juste émerveillé et voulait simplement profiter du spectacle.
Elle ouvrit les yeux.
Un moineau sortit de sa baguette et tourna autour d’elle, laissant derrière lui une traînée comparable à celle que les étoiles filantes avaient laissée dans le ciel cette nuit-là. Un sourire vint faire son esquisse lui le visage de la demoiselle. Les yeux rêveurs sur la beauté de la chose.

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- Tu n’approcheras pas d'elle.
- Ne te mêle pas de ça Weasley. C'est entre elle et moi
- C'est ma sœur, toi t'es personne, dégage avant de te prendre mon poing sur le nez.


La rouquine ne savait pas réellement comment se comporter, il était vrai que l’expédition était prometteuse, mais ce qui venait de se passer était au-delà du réel. Un des enseignants dans la formation de vétérinaire spécialisé dans les animaux sauvages avait décidé d’amener trois « élus » dans un élevage de dragons. Lysianne, toujours aussi discrète, mais efficace avait été convié, cela n’étonnait personne vu que la jeune sorcière était, il fallait bien le reconnaitre, l’une des recrus les plus prometteuse de sa génération. Mais ce genre de situation, bien que malheureusement trop courante, n’était pas au programme. Alors qu’ils étaient venus simplement pour assister à l’éclosion d’un œuf de dragon, la journée pédagogique tourna au drame.  La femelle devait surement être trop irritée, ou fatiguée, ce qui est certain c’est qu’elle n’était pas d’humeur à être observée. Bref, cette femelle donc, se montra agitée, et finalement laissa échapper son feu. Dévastateur. Ardent. Lysianne fut chanceuse, on pourrait même dire miraculée, si ou voulait jouer sur les mots. Contrairement aux l’autres sorciers, Lysianne n’avait pas besoin de dire un sort pour le lancer, ce qui lui avait épargné quelques secondes. Peu, mais des fois, nous n’avons pas besoin de grand-chose pour faire quelques chose d'important. La tornade de feu put lancer le charme du bouclier. Elle ne réussit à inclure dans son sortilège qu’un des élèves avec elle. Assistants impuissants à l’annihilation de son professeur et de l’autre étudiant présent. Les deux sorciers furent envoyés à la sainte mangouste, légèrement brûlée. Finalement, je ne sais pas si c’était jouer sur les mots en disant qu’ils étaient miraculés.
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1979
- Mademoiselle Weasley, le directeur est prêt à vous recevoir. Prenez le couloir, ce sera la dernière porte sur la gauche.
- Weasley… Weasley… Ah, oui, Lysianne Weasley. Excusez-moi, j’ai une très mauvaise mémoire des noms. Donc, oui,  j’ai reçu votre hibou, il semblerait que vous avez les qualifications requises pour travailler auprès des sombrals. J’en suis désolé pour vous. Je voulais donc vous annoncez que votre demande de stage ait été acceptée. Au vu de vos résultats, un éleveur de sombral a accepté de vous recevoir dans son élevage afin que vous assistiez le propriétaire pendant une durée de 2 semaines.

Pour moi, c'est bon, du coup. Je te souhaite la bienvenue parmi les Weasley qui vont dominer le monde, d'ailleurs.   En plus, elle est toute mignonne cette petite Lysianne.  

Tout le staff a l'heureux honneur de te souhaiter la bienvenue sur Imperius Curse.    - Même Dumbledore et Voldemort sont prêts à faire la fête à coup de baguettes, de flammes et de sang. N'est-ce pas magique, merveilleux ? Petit(e) veinard(e) ! - Tu peux désormais poser tes bagages, retirer tes chaussures, mettre tes pantoufles et ta chemise de nuit ; bref, mets-toi à ton aise, les membres de l'Ordre du Phénix t'accueillent sans chichis.
Si tu veux devenir un sorcier accompli, il suffit de passer par là - pour te faire plein d'alliés, d'ennemis et d'amis tout simplement. Crois-moi, ce sera mieux que d'être abandonné, seul au monde, tu vois le genre -, là aussi - beaucoup de sorciers célèbrent ont des journaux intimes ou des carnets de route relatant leurs aventures, sinon, comment peut-on écrire des biographies à leur sujet s'ils n'ont pas gardé leurs souvenirs comme Dumbledore ? -, là - sait-on jamais que tu sois de ceux qui hurlent à la pleine lune ou qui rêvent éveillés - et encore là si tu n'as pas de partenaire en tête - ce serait dommage que tu ne croises jamais personne sur ton chemin à moins que tu ne sois schizophrène -. Et parce qu'il n'y a pas de quartier sorcier sans un bon pub, n'hésite pas à rejoindre notre pub personnel qui se trouve juste là. Pour le reste, prends le temps de découvrir là où tu pourras mettre les pieds.
Si tu as des questions, n'hésite pas à harceler – gentiment évidemment – l'un des membres du staff. Nous sommes là pour ça ! Par contre, ça ne nous dérange pas d'être soudoyées avec des chocogrenouilles ou des dragées de Bertie Crochue. C'est tellement délicieux, vous comprenez !