Sujet: Animals | Calista&Arsène Mer 8 Juil - 23:37
Animals × ft. Calista&Arsène
Tu t’ennuyais, c’était absolument frustrant à quel point tu n’avais rien à faire ici. Le ministère c’était l’environnement d’Alexius, et tu étais contraint d’attendre dans les locaux simplement, car tu n’avais pas d’autre choix. Ton travail impliquait que tu devais être au côté d’Alexius à la seconde où il mettait le pied en dehors du ministère. Dans sa grande bonté, il avait fait en sorte que tu as un bureau personnel, tout le monde le savait pourtant, tu ne faisais pas de travail administratif, tu étais le garde du corps d’Alexius Yaxley tout simplement.. Il fallait bien que tu puisses prendre place quelques parts, ne dérange pas les employés et surtout il n’avait jamais été cruel aux points de te laisser debout pendant des heures. Tu décidas donc après avoir déambulé dans les couloirs de l’établissement de te rendre dans « ton bureau », tu étais comme un chien en cage, tu n’aimais pas rester trop longtemps en place et c’était l’un de tes principaux défauts. Posant la main sur la poignée de ton bureau ; tu l’avais vu. Calista Black, la future victime de ta vengeance, la fille que tu courtisais de loin. Tu voulais qu’elle vienne à toi, qu’elle se laisse tenter seule. De toute manière, tu prenais tout ton temps, même si tu troublais de plus en plus à penser à elle. Tu ne pus t’empêcher de la regarder de bas en haut, un petit sourire aux lèvres. Elle t’avait vu, elle avait même vu que tu détaillais son corps du regard. Bien évidemment, tu le voyais, elle n’était absolument pas choquée par cela, tout au contraire, même si elle le cachait bien. Tout en la fixant, tu ouvris la porte de ton bureau et y rentras. Le vil prédateur que tu étais avait volontairement laissé la porte entre bâiller, une invitation. Une tentation. Cela ne se fit pas attendre, la tête blonde passa la tête par la porte et fit irruption dans ton domaine. Sans un mot tu t’approchas d’elle, elle recula quelque peu. Tu tendis le bras, l’effleurant au passage pour finalement pousser la porte, la faire claquer. Tu ne pus t’empêcher de sourire, ce sourire charmeur dont tu avais le secret. Celui qui n’annonçait jamais rien de bon. Tu pris sa main pour la baisser, comme lors de votre première discussion. Tu te retenais, car l’envie de la posséder t’obsédait depuis le jour où tu avais posé les yeux sur elle. Te contentant, pour l’instant, de dégager une mèche de cheveux qui était tombé devant son visage et la glissa derrière son oreille. Pour finalement, lui tourner le dos et t’asseoir en face d’elle, sur ton bureau. « Mademoiselle Black, que me vaut ce plaisir ? », tu laissas ton regard glisser sur son corps, plus lentement que précédemment, tu détaillais ses formes, ses courbes. Tu n’étais pas gênée de le faire et assumait entièrement ce genre de comportement, tu admirais. En quoi cela pouvait-il être choquant ? Les œuvres d’art ne sont pas gênées parce qu’on désire les regarder sous tous les angles ?
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Mer 8 Juil - 23:42
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Le ministère était souvent bondé de sorciers et sorcières en tous genre. Et je détestais ce genre de moments. Travailler là-bas semblait encore plus ennuyeux quand on devait écouter les complaintes d'une sorcière mère de famille dont le fils avait été convoqué par le Magenmagot parce qu'il avait utilisé un sort en dehors de Poudlard. Malheureusement pour cette femme, elle était tombée sur la mauvaise employée. Je l'avais rapidement chassée de mon bureau pour me consacrer sur de la paperasse. Éviter le plus possible le contact avec les autres sorciers. Grâce à mon père j'avais un poste important dans l'administration du Magenmagot, par conséquent je pouvais éviter de m'occuper de ce genre de choses généralement. Mais là, la sorcière semblait avoir esquivé toutes les étapes avant moi. Je sortais donc de mon bureau, histoire de faire un tour du service voir où en était les différents dossiers dont j'étais en charge. je m'arrêtais près de ma secrétaire « Je vous demanderai de ne plus envoyer les dossiers mineurs dans mon bureau. Je n'aime pas avoir à m'en charger seule. » La sorcière s'excusa avant de me transmettre une pille de papiers à signer, je plongeai la plume qu'elle me tendait dans l'encre afin de commencer ce boulot d'administratif que je détestais. Priant presque pour tomber sur un dossier qui me sorte de ma monotonie du moment. Cette routine commençait à avoir ma peau. Je levais les yeux de la pile quand il passa près du bureau. Je retins ma respiration, le suivant du regard alors qu'il me détaillait de haut en bas. Je rougissais légèrement tout en étant gêné de sa réaction. Je n'avais pas honte du fait d'être regardée. Tous les hommes dans ce couloir le faisaient. Mais aucun n'avait ce sourire, cet air sur de lui. Ce côté tombeur qui savait que j'allais craquer. Et ce qui me dérangeait plus encore était que ça marchait. C'est ainsi qu'après son sourire, en voyant sa porte entre-ouverte, je n'avais qu'une envie, aller dans ce bureau, dans cette tanière de la tentation. Je regardais la secrétaire. « J'ai une réunion avec Monsieur Yaxley, je vais l'attendre dans le bureau de son garde du corps, au moins je ne le raterai pas aujourd'hui. Repoussez tout mes rendez-vous. » Je gardais la tête haute comme à mon habitude avant de me glisser dans le bureau sombre de Lockhart. Il me fixait, s'approchant alors, provoquant chez moi un reflex de recul, comme on agirait face à un prédateur. Oui, Arsène Lockhart était la personnification même de ce qui pour moi pouvait être un danger. Je refusais de bouger, alors que son bras m'effleurait, fermant la porte derrière moi. J'allais devoir lancer un oubliette a la secrétaire qui devait sûrement regarder. Son odeur me frappa alors, comme un coup, puissant, fort. Je savais qu'au fond j'en voulais plus, plus que son odeur. Je voulais sentir sa présence. Sa force. Non, résister. Je devais rester impassible. Je me contentais de le fixer, silencieusement, le regard toujours froid. Respirant le plus calmement possible. Je fis mine de ne pas tressaillir lorsqu'il s’empara de ma main pour la baiser. Comme la première fois que nous nous étions vu, dans mon bureau. Je fermais les yeux alors que sa main repoussait une mèche de mes cheveux. Reprends toi Calista ! Ce n'est qu'un sang-mêlé! J'ouvrais les yeux, lui lançant un sourire aguicheur comme pour répondre à sa provocation. « Mademoiselle Black, que me vaut ce plaisir ? » Je m'approchais de lui, m'asseyant sur une chaise à ses côtés en croisant les jambes. « J'ai à faire avec votre patron, je me suis dit que j'attendrais ici...Après tout il évite volontiers de me recevoir. » Je lui lançais un nouveau sourire. Sachant pertinemment que je jouais à un jeu dangereux. Un jeu dont je pourrais être la victime. Mais non, j'étais plus forte que ça, je savais bien que jamais je ne céderais aux avances d'un sang-mêlé. Je repoussais sans cesses des sang-purs. Alors lui serait tout simplement du menu fretin. Je détachais mes cheveux, les rabattant sur un côté, laissant mon cou à sa vue légèrement en tension. « Je suis sûr que cela ne vous dérange pas...Monsieur...Comment déjà ? » Technique de base, mais elle avait le mérite de fonctionner.
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Mer 8 Juil - 23:45
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« J'ai à faire avec votre patron, je me suis dit que j'attendrais ici...Après tout il évite volontiers de me recevoir. Je suis sûr que cela ne vous dérange pas...Monsieur...Comment déjà ? » Tu retins un petit rire, elle savait qui tu étais. Son corps avait vibré à chaque son qui était sorti de ta bouche lors de votre première rencontre. Mais n’était-elle pas une sang pur ? Assumer son intérêt était comme … accepté de rendre la liberté à un elfe de maison. Compliqué. « Lockhart, Arsène. » Pendant une seconde, tu regardas le sol de ton bureau. « Monsieur Yaxley, est loin d’avoir terminé son travail. Vous savez ? » Un petit rictus de satisfaction fin faire tressaillir ton sourire. Alors qu’elle se retrouvait dans ton bureau ; à l’abri des regards, juste à la portée de tes doigts. Mais tu voulais plus, tu voulais la voir être en demande. Tu te fichais pertinemment qui elle était et ce qu’elle était vis-à-vis de toi. Ta demi-sœur, elle l’ignorait, c’était d’autant plus amusant de voir à quel points Phineas avait commis la plus grosse erreur de sa vie : te faire vivre dans l’ombre. Finalement, tu te remis sur tes pieds, quittant la table sur laquelle tu t’étais perché. Pour finalement, prendre une démarche lente et conquérante. Contournant la chaise où elle s’était logé, pour finalement arrêter ta marcher derrière elle. Penchant légèrement la tête, tu admirais ce cou qu’elle t’avait semble-t-il montré volontairement. Ne pouvait pas réellement te retenir, tu laissas tes doigts effleurer sa chevelure pour finalement caresser ce cou qui t’était offert. Le geste la fit se relever. Puis tu saisis la chaise et la déplaças légèrement sur ta gauche, le bruit la fit se retourner. Vous vous faisiez à nouveau face, comme lors de son arrivée. Elle eut encore le même réflexe qui était de reculer, heurtant le bureau. Tu t’approchas davantage vu qu’elle était bloquée, saisissait sa taille pour finalement la soulever, qu’elle soit assise sur la table, comme tu l’avais fait. Tu fixais ses yeux, puis ses lèvres et laissez finalement tes yeux trainer sur son cou. Tu te prenais beaucoup sur toi, pour ne pas simplement lui sauter dessus, comme tu l’aurais fait avec l’une de tes nombreuses conquêtes sans intérêt. Mais elle, c’était le challenge, c’était la vengeance, tu ne pouvais pas agir comme à ton habitude. Tu posas tes mains sur le bureau, alors que ton corps s’était placé devant ses jambes qu’elle gardait croisées, rapprochant ton visage du sien, tes yeux toujours plantés sur sa gorge. « Mais ne vous inquiétez pas, je suis un très bon compagnon pour faire passer le temps. » Tu susurras ces mots, alors que tu approchas ta bouche se son cou, effleurant sa peau de tes lèvres. Pour finalement revenir vers son visage, frôler son nez avec le tient, ses lèvres avec les tiennent. « Mademoiselle Black permettez-moi de vous dire que votre parfum est exquis. » Ton plongea ton regard dans ses azurs, puis éloigna ton visage du sien. Tu voulais voir sa réaction avant de faire quoi que ce soit. Tu te retenais, tu prenais sur toi. Tu ne voulais pas simplement la chasser, tu voulais la conquérir. Que ce soit elle qui se laisse tenter, qu’elle se laisse séduire, qu’elle en réclame plus. Tu ne pus t’empêcher de poser l’une de tes mains sur sa taille, la maintenant quelque peu assise sur ce bureau, tu ne voulais pas qu’elle parte.
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Jeu 9 Juil - 0:32
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Son rire, je l'entendais à peine qu'il était gravé dans ma mémoire. Non Calista. Je fermais une demi seconde les yeux ne les ouvrant qu'en entendant de nouveau sa voix envoûtante. « Lockhart, Arsène. » P« Monsieur Yaxley, est loin d’avoir terminé son travail. Vous savez ? » Je me raclais la gorge. Avant de laisser glisser entre mes lèvres, d'une voix douce et lente « J'ai tout mon temps... » Je ne manquais pas son rictus, presqu'un sourire, mais il avait quelque chose de plus sombre, de plus secret. Quelque chose qui me faisait brûler de curiosité. Je commençais à me demander ce que je faisais là. Je commençais à me demander si j'étais vraiment de taille face à lui. Cet individu avait beau n'être qu'un sang-mêlé. Il avait plus de cran qu'aucun des sang-pur qui avait osé m'approcher. C'en était presque insultant pour notre société. C'était pour ça que je ne pouvais pas abandonner. Je devais faire honneur à qui j'étais. Je n'étais pas une sorcière de second rang, cédant aux avances du premier venu. J'étais Calista Black par la barbe de merlin. Je restais immobile alors que lui se levait lentement. Une part de moi me criait de le garder à l’œil, de ne pas le perdre de vue, comme l'on réagirait face à un animal sauvage. Sa démarche n'avait pas changé de celle qu'il avait lors de votre première rencontre. Féline, primitive et si sensuelle. C'était le genre de démarche qui laissait tout voir de ses intentions. Je ne bougeais pas, le coup toujours tendu alors que je sentais sa présence derrière moi, je ne le voyais pas mais je le sentais proche. Trop proche. Je tressailli doucement lorsque ses doigts effleurèrent mes cheveux blonds. Puis en sentant sa peau froide sur mon cou je me levais, lui faisant face. Un air de défi mêlé à de l'appréhension dans le regard. Encore une fois, il s’approcha et de nouveau je me reculai, mais cette fois-ci mes cuisses se heurtèrent au bureau. J'étais prise au piège. Je le fixais, me perdant dans l'immensité de ses yeux. Plus le temps passait, plus une tension envahissait le bureau. Elle était pesante, gênante et en même temps si agréable. La situation perdit tout contrôle lorsqu'il réduit à néant la distance qui nous séparait, ses mains m'attrapèrent par les hanches. Je lâchais un petit cri alors qu'il m'asseyait sur son bureau. Je croisais mes jambes. J'étais désormais pile à sa hauteur. Ce silence qui envahissait la pièce était gênant. Mais je ne voulais pas le briser. Il semblait de mise. Comme si notre duel n'aurait put supporter le moindre bruit. Nous devions tous deux nous concentrer sur autre chose. Moi je devais oublier sa présence, oublier cette chaleur dans mon ventre, oublier ces frissons dans ma nuque. Ma respiration devenait légèrement irrégulière, j'avais de plus en plus de mal à ignorer l'attirance que je ressentais pour cet infâme sang-pur. Ses mains étaient alors sur le bureau, me coupant toute retraite alors que son souffle me caressait le visage. « Mais ne vous inquiétez pas, je suis un très bon compagnon pour faire passer le temps. » Je n'en doutais absolument pas, et j'avais encore plus de mal à en douter quand ses lèvres effleurèrent mon cou, laissant sur leur chemin une traînée de frissons. J'aurai souhaité pouvoir me reculer, son visage vint finalement se place face au mien, je me perdais de nouveau dans ses yeux.alors que nos lèvres se frôlaient. Je n'avais qu'une envie, plonger sur ces dernières pour y perdre mon âme. Mais je résistais tant bien que mal, le laissant jouer à son jeu dangereux. Je me concentrais sur autre chose, mon père par exemple. Il n'aurait jamais accepté une liaison avec un sang-mêlé, quand bien même il ait enchaîné les conquêtes, jamais il n'était sortit du cercle des sang-purs. J'avais beau vouloir lui prouver que j'étais une femme indépendante, un sang-mêlé n'allait pas m'y aider...du moins je souhaitais que ce soit le cas. « Mademoiselle Black permettez-moi de vous dire que votre parfum est exquis. » Enfin il éloignait son visage du mien. Intérieurement je criais de joie, extérieurement je restais impassible, comme lassée de la situation, bien que respirant de nouveau. Malheureusement cette séparation fut de courte durée puisqu'il ne put résister à l'envie de poser sa main sur ma taille. Je baissais les yeux sur cette dernière avant de le regarder de nouveau. « Merci Monsieur Lockhart, le vôtre ne m'est pas désagréable, bien que je sois habitué à des senteurs plus...pure » Je glissais ma main sur son épaule, ajustant doucement son col avant de la laisser tomber sur son torse. Puisque je ne pouvais partir, je pouvais tout de même essayer de garder un semblant de dignité. « Quand à vos talents pour faire passer le temps, je demande encore à voir. » Je posais ma main sur la sienne, celle qui était sur ma taille. Caressant distraitement ses doigts un à un. Puis je la saisissais, la posant sur le bureau avant de me glisser sur mes pieds. Me collant ainsi à son corps, il n'y avait plus un centimètre nous séparant. Je restais ainsi quelques secondes avant de me glisser doucement sur le côté, me retrouvant à ses côtés. « Excusez moi, je me sentais légèrement à l'étroit » Je m'appuyais sur son bureau. Regardant le mur qui me faisait face, la tête légèrement penchée en arrière. « Vous savez quand Monsieur Yaxley sera disponible ? Je suis une femme occupée. » Je lui lançais un clin d'oeil, attendant sa réponse. Profitant de cet espace que j'avais instauré pour respirer profondément et tenter d'évacuer toute la tension qui s'accumulait chaque seconde dans tous les muscles de mon corps.
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Jeu 9 Juil - 12:30
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« Merci Monsieur Lockhart, le vôtre ne m'est pas désagréable, bien que je sois habitué à des senteurs plus...pure. Quand à vos talents pour faire passer le temps, je demande encore à voir. » Sourire victorieux sur ton visage, elle venait de se trahir elle ne s’en doutait même pas. À essayer de garder un semblant de dignité, elle venait tout simplement de te donner les moyens de la déstabiliser davantage. Ses gestes aussi étaient en train de trahir sa vraie pensée à ton égard, alors qu’elle caressait les doigts de ta main. Le problème c’est qu’elle était encore jeune. Tu avais un avantage, les jeux de la provocation te les maitrisaient depuis beaucoup plus d’années qu’elle. Mais d’un autre côté, tu te trouvais troublé lorsque ses yeux et les tient rentrait en contact, c’était fascinant. « Excusez-moi, je me sentais légèrement à l'étroit. Vous savez quand Monsieur Yaxley sera disponible. Je suis une femme occupée. » Puis elle fuit la proximité, deuxième erreur de sa part, cela montrait qu’elle n’était pas insensible. Tu savais parfaitement que tu te serais pris une gifle si elle avait trouvé ton comportement déplacé. Tu jubilais intérieurement. Finalement, elle était restée à côté de toi et te lança un clin d’œil. Tu pris place à côté d’elle, t’appuyant à ton tour contre ton bureau. Laissant volontairement ta main proche de la sienne. Très proche même, elles s’effleuraient. Tu maintenais le regard sur elle. « Vous n’avez pas à vous excusez, je ne souhaite en rien vous mettre mal à l’aise Mademoiselle Black. Ce serait une honte que de vous mettre dans une situation qui ne vous satisferait pas. Concernant Monsieur Yaxley, je ne peux vous renseigner, il n’a pas réellement d’horaire fixe.» Alors que tu continuais de la dévorer du regard, tu te mordis les lèvres, tu te sentais presque gêné de trouver ta demi-sœur aussi séduisante. C’était même la première sorcière à laquelle tu trouvais autant de charmes. Mais en réalité, tu admirais tout simplement, tu aimais ce que tu voyais. Délicatement, tu laissas la main proche de la sienne, glisser et de ton index lui caresser sans aucune brusquerie la main de Calista. « Permettez-moi de vous poser une question » Tu avais ton sourire outrageusement sexy au visage, celui qui était presque provocateur. « Je… Comment dire… Eh bien, j’aimerais bien savoir, vu que vous aviez oublié mon nom. Comment pouvez-vous savoir, si mon odeur est assez ou pas assez pure pour vous » tu insistas sur le mot oublié, tu savais qu’elle t’avait menti, qu’elle ne l’avait jamais oublié et tu lui soulignais, d’une certaine manière, que tu n’étais pas dupe. Tu revins à lui faire face, tout en tentant de garder un peu d’espace entre vos deux corps. Saisissant sa main que tu caressais, pour finalement l’amener vers et la regarder. Tu posas tes lèvres sur son poignet, un endroit très sensible trop souvent oublié de tous. Puis tu posas à nouveau tes lèvres sur la peau de son poignet. Puis tu optas pour une approche plus directe, glissant ta main sur son visage, caressant ses lèvres de ton pouce. Tu étais horriblement tendre, ce n’était pas dans tes habitudes. Tu voulais te coller à elle, la sentir contre toi, mais tu ne le faisais pas. Il fallait qu’elle s’approche d’elle-même aussi non tu risquais de la faire fuir. « Je vous l’accorde, avec vous je ne sais pas comment m’y prendre pour vous faire passer le temps. Non pas que l’envie m’en manque. Je n’ai juste pas envie de vous décevoir ou même de vous brusquer.» Approchant ton visage d’elle, tu vins poser finalement tes lèvres tendrement sur le cou qu’elle t’offrait depuis son arrivée. Puis recula, remettant la distance qu’elle cherchait entre vous deux.
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Jeu 9 Juil - 15:46
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« Vous n’avez pas à vous excusez, je ne souhaite en rien vous mettre mal à l’aise Mademoiselle Black. Ce serait une honte que de vous mettre dans une situation qui ne vous satisferait pas. Concernant Monsieur Yaxley, je ne peux vous renseigner, il n’a pas réellement d’horaire fixe.» Je ne pouvais que sentir l'ironie dans sa voix, comme si il ne souhaitait pas me mettre mal à l'aise, tester mes limites. Je n'arrivais quasiment plus à réfléchir par moi-même. Mes pensées troublées par la fureur de mes hormones. Je ne savais plus ce que je faisais là exactement, je ne me concentrait plus que sur un instinct d'auto-préservation. Tentant tant bien que mal de repousser mon attirance pour le sang-mêlé. Je sentais son index caresser doucement ma main, je restais les yeux dans le vide. Surtout ne pas le regarder. Ne pas croiser son regard profond, ne pas imaginer son sourire aguicheur, sa mâchoire si bien dessinée, ses lèvres qui semblaient si douces, la fine pilosité sur son visage qui lui donnait cet air sauvage. Avec chance, il me sortit de mes pensées, m'enlevant ces images fixées dans ma tête. « Permettez-moi de vous poser une question Je… Comment dire… Eh bien, j’aimerais bien savoir, vu que vous aviez oublié mon nom. Comment pouvez-vous savoir, si mon odeur est assez ou pas assez pure pour vous J'aurais pu me concentrer sur le sourire qu'il me faisait, mais j'étais pétrifiée. Comment avais-je pu commettre une erreur aussi idiote ! Je rougissais légèrement, paniquée par cette question qui me déstabilisait. Il n'avait vraiment rien en commun avec les autres hommes qui cherchaient habituellement à me séduire. Cela le rendait tellement plus dangereux, mais tellement plus attirant par la même occasion. J'allais bafouiller une réponse, mais il fit le prochain geste. Me prouvant une fois encore que l'adversaire que j'avais sous-estimé menait peut-être la danse. Il revint face à moi, à une distance respectable, mais m'obligeant tout de même à rester sur mes gardes alors que sa main se saisissait de la mienne. Je me laissais faire, tentant en vain de contenir un petit gémissement alors que ses lèvres touchaient mon poignet. Mes yeux croisaient les siens, je retenais cette folie qui m'envahissait, cherchant à me pousser dans ses bras, me faisant brûler d'envie de trouver ses lèvres. Restant immobile, la bouche légèrement ouverte. Le souffle saccadé je priais pour qu'il garde cette distance. Malheureusement mes prières furent ignorées alors que doucement sa main glissait sur mon visage, je sentais son pouce sur mes lèvres, cette fois il devenait difficile de cacher que ma respiration n'avait plus rien de posée et rythmée. « Je vous l’accorde, avec vous je ne sais pas comment m’y prendre pour vous faire passer le temps. Non pas que l’envie m’en manque. Je n’ai juste pas envie de vous décevoir ou même de vous brusquer.» Je tremblais légèrement alors qu'il m'approchait et je finissais par serrer la main qu'il tenait lorsque ses lèvres tant convoitées touchèrent mon cou. Je restais sous le choc un moment alors qu'il se reculait. J'en voulais encore, plus toujours plus. Je voulais sentir sa chaleur, je voulais lui appartenir toute entière. Et ces envies me terrifiaient littéralement. Moi Calista Black, je voulais offrir ma chasteté à un sang-mêlé, moi Calista Black j'étais sous le charme de ce sorcier. Je ne comprenais pas ce qui provoquait toutes ces réactions. Jamais dans mes aventures avec des hommes je n'avais autant eu envie de quelqu'un. C'était la première fois et ça m'effrayait autant que j'en étais curieuse. Je tentais néanmoins de reprendre un semblant de sûreté. « Un sang-mêlé ne passe pas inaperçu dans ce service, surtout quand il est employé par ce charmant Yaxley. » Ma voix était beaucoup moins assurée que je ne l'aurai souhaité. Je passais une main dans mes cheveux, cherchant à m'occuper pour oublier que le diable en personne cherchait à me faire succomber à la tentation. « Et vous faîtes bien de ne pas vouloir me brusquer, après tout, vous n'êtes qu'un garde du corps. Et pour ce qui est de me décevoir, vous ne pourrez sans doutes jamais le savoir. C'est dommage. » Je retirais violemment ma main de la sienne en lui adressant un sourire froid. Je sortais de mon sac de quoi me repoudrer, tentant de camoufler mes joues rosies par l'envie de me perdre dans ses bras. Je reposais mon nécessaire, retrouvant ses yeux que j'avais lâché depuis trop longtemps à mon goût. Je sentais son odeur m'envahir de plus en plus, comme une drogue, m'obscurcissant l'esprit. Et je me laissais aller à des rêves interdits. Qu'il y avait-il de mal à ce que je cède à la tentation. Mes yeux glissaient sur son corps, détaillant son visage, son torse face a moi. J'usais de mes dernières forces pour m'empêcher de le toucher, de le sentir, je voulais tellement détacher les boutons de sa chemise. Embrasser ces lèvres qui me provoquaient depuis le moment où j'étais entrée dans ce bureau. Je sentais encore la chaleur sur ma peau, sur mon cou, là où ses lèvres s'étaient posées. Finalement, je décidais de me laisser aller, de glisser un peu dans son piège. Persuadée de pouvoir en sortir quand je le souhaiterais. Je posais donc ma main sur la sienne, la conduisant lentement vers ma taille avant de l'y poser, glissant ensuite le bout de mes doigts sur son avant-bras. Suivant des yeux ce mouvement mécanique. Tentant d'oublier le sang qui pulsait de plus en plus vite dans mes veines. Je levais finalement les yeux vers lui, me mordant la lèvre inférieure en le regardant dans le blanc des yeux. « Qui vous dit que j'ai assez vécu pour que vous puissiez me décevoir Monsieur Lockhart... » Ma main était désormais posée sur son épaule, mes doigts s'enroulant doucement dans une mèche de ses cheveux en dessous du niveau de son oreille « Et surtout, qui vous dit que je ne désire pas être brusquée »
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Ven 10 Juil - 17:58
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« Un sang-mêlé ne passe pas inaperçu dans ce service, surtout quand il est employé par ce charmant Yaxley. Et vous faîtes bien de ne pas vouloir me brusquer, après tout, vous n'êtes qu'un garde du corps. Et pour ce qui est de me décevoir, vous ne pourrez sans doutes jamais le savoir. C'est dommage. » Tu levas le sourcil, toujours le sourire aux lèvres, elle n’était pas convaincante. Son corps entier la trahissait. Et faisait son possible pour te résisté cela avait de son charme, mais elle finirait par craquer, plus vite qu’elle le pensait.
Généralement, les femmes rentraient dans l’une de ces trois cases : intelligente, belle et sexy. À ton plus grand désespoir, Calista Black pouvait se vanter d’être les trois et le plus horripilant, c’était qu’elle l’ignorait. Bien sûr, tu savais qu’elle n’était pas idiote et devait se rendre compte que les regards masculins glissaient sur elle plus que sur les autres, mais elle ignorait très certainement à quel point. Tu trouvais qu’elle avait un petit côté femme fatale à la tendance lolita, ses yeux azur qui vous défiait continuellement, son visage de poupée et un corps à se damner : Tout était à garder. Malgré les trente centimètres qui vous séparaient, cette petite sorcière te secoué comme jamais tu l’avais été depuis des années. Pendant quelques instants, tu ne songeais plus à ta vengeance, tu l’as voulais tout simplement. Tu voulais la posséder, la faire frémir et la faire gémir. Puis elle prit finalement ta main pour la poser sur sa taille, tu sentis ta respiration s’accélérer un instant, elle entrait dans un jeu dont elle ne maîtrisait absolument pas les règles et c’était délicieux. Elle s’improvisait chasseuse, alors qu’elle était ta proie. « Qui vous dit que j'ai assez vécu pour que vous puissiez me décevoir Monsieur Lockhart... Et surtout, qui vous dit que je ne désire pas être brusquée » Sans réellement te faire attendre, tu l’attiras conte toi. L’agrippant fermement par la taille, peut-être qu’elle ne savait pas réellement dans quoi elle s’embarquait, mais tu n’allais pas laisser filé cette occasion pour marquer définitivement son esprit. L’idée qu’elle n’avait pas assez de vécu rendait ton intérêt pour elle, encore plus puissant. Ta main de libre vint glisser sur sa joue, tu mettais son cou en évidence, et vint poser tes lèvres à nouveau dessus, et encore, et encore. Tu sentais son corps frémir ce qui t’arracha un petit grognement de satisfaction. Elle était coincée. Alors que tes lèvres effleuraient toujours la peau de son cou, tu lui susurras aux creux de l’oreille avec ta voix suave. «Ne vous inquiétez pas, alors je vous brusquerais en douceur » puis tu posas à nouveau tes lèvres sur son cou, la collant de plus en plus contre toi, serrant de plus en plus sa main sur sa taille. Tu te serais écouté, elle aurait perdu tous ses vêtements dans la seconde, mais tu n’étais que dans un bureau et tu ne voulais pas que cela s’ébruite. Pour le moment, la discrétion était ton but. Mais tu ne pus t’empêcher de poser tes lèvres sur les siennes. C’était presque tendre. « Vous avez bon gout », c’était presque provocateur, puis tu plongeas à nouveau tes lèvres sur les siennes. Tu te faisais un peu plus possessif, ta respiration était un peu plus bruyante, un peu plus bestiale, tu te faisais violence pour ne pas aller plus loin. Tu voulais connaitre sa réaction avant tout.
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Ven 10 Juil - 23:29
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Il y a une sensation que tout le monde rêve d'avoir. Un sentiment. Celui d'avoir trouvé la bonne personne. Le sentiment qui prenait le dessus sur tous les autres. Certains la cherchaient pendant des années. D'autres avaient même perdu espoirs. Et certains se trompaient, pensant l'avoir trouvé pour n'être tombé que sur un leurre. En réalité tout le monde cherchait cette connexion unique, celle qui n'existe qu'entre deux personnes destinées à se rencontrer. Cette sensation de tiraillement lorsque vous croisiez son regard. Ne sachant pas si oui ou non cette personne qui se tenait devant vous était bel et bien une personne digne de vous serrer dans ses bras. Je fixais cet homme, Arsène Lockhart. Et je ne parvenais pas à nommer ce lien qui nous unissait, mais je ne pouvais que me rendre à l'évidence. Alors que ses mouvements provoquaient une frayeur accompagnée d'un délice exquis en moi. Alors que la chaleur de sa main sur ma taille irradiait mon corps tout entier. Alors qu'au plus profond de mes entrailles je réclamais sa présence. Je savais qu'il était celui dont mon cœur avait besoin. Celui que j'avais pendant si longtemps recherché. De l'amour ? Non, ce n'était pas de l'amour, tout au plus une attirance incroyablement forte. Je ne le connaissais pas assez pour appeler cela de l'amour. C'était une envie, un besoin. Le besoin de sentir ses mains parcourir mon corps. Le besoin d'avoir ses lèvres embrassant chaque centimètres de ma peau. C'est pour ces raisons, au nom de ce désir inavouable que je le laissais glisser sa main sur ma joue, que je le laissais s'approcher de son cou pour le souiller de ses lèvres. A ce moment, des brides d'informations passèrent dans mon cerveau, le peu de conscience qu'il me restait m'hurlait de m'en aller. Au nom de mon père. Mon père qui aurait tué de ses mains le sang-mêlé qui osait toucher sa fille. Et quelque part, au fond de moi, je me réjouissais d'enfin faire quelque chose que mon père aurait désapprouvé. Je me perdais ensuite dans des images floues et incomplètes alors que ses lèvres laissaient une traînée de frisson tout au long de ma nuque. Je frémissais, je tremblais, mordant ma lèvre inférieure afin de retenir dans l'enclos de ma bouche les gémissements qui menaçaient de s'évader. «Ne vous inquiétez pas, alors je vous brusquerais en douceur » Sa voix au creux de mes oreilles sonnait comme un doux enchantement. Et en réaction a ses mots allumeurs mon corps entier s'embrasa d'un même ton. Il approcha nos deux corps, alors que je sentais contre moi ses muscles saillants. Je sentais sa main serrer ma taille alors que mes bras allèrent se perdre dans son dos. Caressant cet homme que je voulais à moi, si ce n'était pour toujours, ne serait-ce que pour un court instant, pour donner vie à mes fantasmes les plus fous. Puis vint le moment tant attendu, ses lèvres trouvèrent le chemin de leurs promises, avec une tendresse mêlée à de la brutalité. Un parfait mélange des deux. « Vous avez bon gout» En temps normal cette phrase m'aurait faîte fuir, mais venant de lui, j'avais l'impression d'être comparée à une déesse. Et avant même que je ne puisse les réclamer ses lèvres retrouvèrent les miennes. Se muant de nouveau dans un baiser plus bestial que le précédant. Je le sentais se serrer à moi, je le sentais devenir plus animal, plus possessif. Alors je glissais une main dans ses cheveux, m’agrippant à ses mèches tandis qu'un de mes bras se posait derrière son épaule. Je le laissais me posséder. Je me perdais à être sienne. Et alors ma langue chercha la sienne. Brisant les barrières de la réalité, alors que nos langues partaient dans un balai rythmé. Je laissais se baiser courir quelques instants, puissant, profond. Avant de finalement me détacher de lui, la respiration saccadée, sans que je ne fasse plus aucun effort pour la lui cacher. Je voulais qu'il sache, qu'il sache qu'aujourd'hui il pouvait tout avoir de moi. Je lâchais ses cheveux, glissant doucement ma main sur sa mâchoire. « Le votre m'est tout autant agréable Monsieur Lockhart. » Je souriais, aguicheuse, déposant les armes et me rendant à cet adversaire qui avait de toute évidence gagné cette bataille. Mais je n'étais pas tout à fait perdante ici. Puisqu'il m'avait eu, mais moi je l'avais lui. Je me rasseyais sur son bureau, l'attirant à moi par la chemise alors que mes jambes se glissaient autour des siennes. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, dans un baiser que cette fois, je contrôlais. Pour le temps que cela durerait car il ne tardait pas à reprendre le dessus. Me dominant à nouveau. Et c'est alors que j'inspirais son odeur. Cette odeur qui m'avait donné des vertiges, cette odeur que j'avais rêvé de sentir m'envahissait. A ce moment là, je n'étais plus Calista Black, la sorcière de sang-pur forte et indépendante. Je n'étais qu'une jeune fille qui se perdait à la décadence dans les bras d'un homme. Je ne me contrôlais plus, et n'agissait que pour plaire à celui dont les lèvres semblaient se sceller aux miennes. Je parvint néanmoins entre deux baisers à sortir d'une voix légère, presque un chuchotement. « Finalement votre parfum n'est pas aussi mauvais qu'on peut le penser. »
Sujet: Re: Animals | Calista&Arsène Dim 12 Juil - 12:07
Animals × ft. Calista&Arsène
« Le votre m'est tout autant agréable Monsieur Lockhart. »Tu te perdais entièrement à ses lèvres oubliant absolument tout. C’était une vengeance, c’était la fille de Phineas, c’était ta demi-sœur, tout ceci était qu’un vague souvenir tant le moment présent te mettait à rude épreuve. Tu voulais contrôler la situation, mais d’une certaine manière, ils semblaient que vos corps n’étaient pas décidés à vous laisser décider à leurs places. Ils s’appelaient l’un l’autre. « Finalement votre parfum n'est pas aussi mauvais qu'on peut le penser. »« Comme si vous en doutiez un instant. », lâchas-tu dans un souffle, tu trouvais toujours le moyen de te trouver arrogant et sur de toi. Tu plaquas ta bouche contre la sienne, tu testais la douceur de ses lèvres, la chaleur de son souffle, l’ardeur de son désir. Rapidement, vos langues se rencontrent et son cœur s’emballe, tu peux le sentir battre, car tu l’as plaqué contre ton torse. Glissant l’une de tes mains derrière sa nuque pour approfondir ce baiser, la seconde vint se placer sur la jambe de la sorcière. Laissant ton pouce caressez la peau de sa cuisse. Elle retenait ses gémissements ce qui te fit grogner, tu aimais ça sentir son corps frémir, sentir son âme te réclamer davantage. Elle perdait son souffle, tu perdais la notion du temps, du bien et du mal, ce moment t’emportait dans un tourbillon sensuel. Tu l’as voulais pour toi, tu voulais qu’elle te demande plus, son corps le faisait pour elle et cela te rendait encore plus envouté par la sorcière. Tu tentais de te contenir, d’apprendre la patience. Si tu pouvais, t l’as prendrais sauvagement, sur ce bureau, sans aucune retenu. Mais ce serait égoïste, tu l’as priverait d’une ascension du désir langoureuse, vertigineuse, qui serait en train d’embrasser chaque cellule de vos corps. Tu n’étais pas totalement sur de maitrise entièrement la situation, tu craignais déjà de regretter ce moment. Qu’elle décide finalement de fuir quand que vous vous croiseriez. Mais son corps était un appel au crime contre lequel tu n’arrivais pas à lutter. Ton désir pour elle te dépassait, tu n’avais jamais eu envie d’une femme à ce point. Elle réveillait un animal déchaîné qui sommeillait en toi. Sentir son corps frémir te donnait encore plus envie de la posséder, de lui faire perdre la tête sous tes assauts, mais tu patientais, encore et toujours, cet instant ne serait pas pour maintenant, une prochaine fois. Car tu espérais qu’elle s’offre à toi une prochaine fois. Tu te perdais entièrement à ses lèvres, oubliant absolument tout. C’était une vengeance, c’était la fille de Phineas, c’était ta demi-sœur, tout ceci était qu’un vague souvenir tant le moment présent te mettait à rude épreuve. Tu voulais contrôler la situation, mais d’une certaine manière, ils semblaient que vos corps n’étaient pas décidés à vous laisser décider à leurs places. Ils s’appelaient l’un l’autre. Laissant glisser ta main dans son dos, tu resserras ton emprise sur telle, tentant de réduire à néant la distance de vos corps. « Est-ce que… mes talents pour faire passer le temps…. Vous convienne ? » réussis tu as articulé entre plusieurs baisés. Pour finalement repartir explorer sa nuque avec tes lèvres, plus sauvage. Ta respiration devenait plus bruyante, la tension n’est plus palpable entre vous, elle est criante. Elle avait la peau si douce, c’était presque à en devenir fou.